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11 octobre 2017 3 11 /10 /octobre /2017 16:38

C’est « A la recherche du temps futur » qu’ADELI, association créée en 1978, a décidé de réunir pour ses 40 ans les acteurs du numérique et du collaboratif pour débattre autour de l’état des lieux et du devenir de l’Intelligence artificielle les 8 et 9 mars au Grand Hôtel de Cabourg.

 

Les avancées conséquentes depuis 30 ans en intelligence artificielle, les progrès des puces électroniques, l’augmentation massive du stockage avec le cloud computing vont permettre de nouveaux progrès en médecine, en robotique, en gestion des entreprises numériques, en lutte contre les terroristes... Quelles nouvelles applications seront pertinentes ? Quelle gouvernance du numérique faut-il mettre en place pour assurer la démocratie, la transparence, la traçabilité, l’équité, la neutralité ? Quelles données souhaitons-nous partager ? Assurer la sécurité des hommes, des réseaux, des applications est-elle une tâche ardue ?

 

Voilà l’essentiel des thèmes qui seront abordés, nous avons l’ambition de faire de ces rencontres à Cabourg un laboratoire unique d’idées et de confrontation.

Les invitations ont été déjà lancées en direction de chercheurs, d’universitaires de scientifiques, d’ingénieurs, d’écrivains, de philosophes…

Deux prix (de la meilleure nouvelle et du meilleur article sur l’IA) seront remis à l’occasion du diner de gala qui aura lieu au Grand hôtel de Cabourg le jeudi 8 mars au soir.

En fin d’après-midi un film sur le thème de l’IA sera projeté au Cinéma de Cabourg.

Dans un contexte où ces questions sont plus que jamais d’actualité, nous serions heureux d’accueillir le plus grand nombre d’intéressés dans la limite des places disponibles.

 

Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur le lien suivant :

  

 

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11 octobre 2016 2 11 /10 /octobre /2016 17:45

Je vais vous faire part de mon expérience … donc de quelque chose de réel et de tangible, qui visiblement laissent l’état, les ministres, les politiques totalement indifférents. Je ne développe qu’un tout petit aspect, personnel, certes … mais dont je ne suis pas le seul à faire l’amère expérience

Que penser d’une Université qui ne paye pas ses enseignants vacataires au bout de dix mois, alors que les cours sont terminés et que les cours 2016/2017 commencent cette semaine ?

Qui par ailleurs, ne délivre plus de feuilles de paie depuis le mois de mai à ses professeurs et n’applique pas les augmentations qui leur sont dues ?

Qui, par ailleurs, demande à ses enseignants vacataires de remplir un dossier pour une commission qui examinera s’ils sont capables d’enseigner à l’Université, alors que leur enseignement a déjà commencé (pour ce qui me concerne, j’ai été professeur associé dans une autre université pendant six années, vérifiable, puisque la nomination des professeurs associés est publiée au JO) ?

Que le contact ne se fait que par internet sans la possibilité de rencontrer un être humain pour en parler... pour comprendre... pour être informé. Donc une administration aveugle, barricadée dans ses bureaux derrière un mur numérique.

C’est l’Université Paris 13... on aurait aimé qu’un gouvernement fasse le ménage dans ces universités qui sont la honte de l’enseignement supérieur... car il n’y a pas que Paris 13 qui se comporte ainsi.

Le manque de postes fait que toutes les universités sont obligées massivement de recourir aux enseignants vacataires et qu’il devient compliquer, dans ces conditions, d’en trouver... sachant qu’ils sont, en outre payés une bouchée de pain (quand l’administration universitaire veut bien faire son travail).

Voilà, un bien amer constat de cette situation indigne d’un pays comme la France...

Étrangement personne ne parle de ce monde ubuesque où l’on fait travailler des gens sans être capable de leur payer leur dû à la fin du mois.

Enfin, il faudrait aussi parler des conditions matérielles de l’enseignement supérieur et de la condition des étudiants qui sont directement exposés à tous ces dysfonctionnements.

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24 février 2016 3 24 /02 /février /2016 14:18

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6 novembre 2015 5 06 /11 /novembre /2015 22:28

La conférence prévue le 17 novembre a été reprogrammée le 8 décembre

Conférence ADELI, le 8 décembre 2015 A 19 heures au 1er étage du Café de la Mairie (appelé aussi "Pierre du Marais") - 51, rue de Bretagne  à PARIS - 3ème Retour d'expérience sur le e-learning Par Jean Pelletier

Créée en 1978, ADELI est une association qui permet à l’ensemble des professionnels des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) et des Systèmes d’Information (SI) de partager et d’accroître leurs connaissances, de débattre librement de leurs idées et de publier leurs points de vue et retours d’expérience. La richesse des publications repose sur le brassage d’idées entre fournisseurs, utilisateurs et enseignants.

L’éducation est en train de connaître une mutation extraordinaire avec l'apparition d'une nouvelle forme d'enseignement : l'e-learning, à savoir en français : « l'apprentissage en ligne ».Alors que les nouvelles technologies de l'information bouleversaient en profondeur la culture, en mettant à mal toute sa chaîne de création et de production, l'éducation trouvait dans ces nouvelles ressources un élan nouveau. Celui-ci est en train de changer tout le paysage de l'enseignement et de la formation.

Actuellement les États-Unis proposent 80 % des ressources mondiales en ligne.

C'est donc un défi que la France doit relever. En effet cette méthode d'enseignement permet de se libérer de toutes les contraintes physiques : présence, locaux etc... Elle doit cependant s'adjoindre, nécessairement, ce que l'on appelle « un tuteur », qui fait le lien avec les apprenants.

Jean Pelletier, enseignant, a participé à la mise en œuvre par l'EAC, d'une mise en ligne de l'un de ses programmes de formation, à savoir un MBA manager de projet culturel, il vous fait part de son expérience.

Né en 1952, ancien élève de l'Institut d'études politique de Paris et titulaire d'une Maîtrise de Lettres à l'Université Nancy 2, Jean Pelletier a été Directeur des Relations Extérieures de l'ADAMI et professeur associé à l'université d'Evry dans le cadre d'un DESS « Administration de la musique et du spectacle vivant ».

Il est actuellement professeur à l'EAC (Ecole d'Art et de Culture) et à l'ACE CFA où il enseigne dans un master 2 intitulé « Dynamique Culturelle ». Écrivain, il est l'auteur d'une monographie publiée aux Éditions du Chêne dans la collection Vérité et légendes : « Julien Gracq – L'embarcadère », il a publié aux Éditions Saint-Germain-des-Prés « Les Irréelles » et « Le Satan poétique ». Il est l'auteur d'une pièce de Théâtre « La mémoire, le paravent et le chant des oiseaux ». Il a participé à l'ouvrage collectif « La vie quotidienne des Français au XXe siècle » et a signé de nombreux articles.

Il est rédacteur régulier sur le site d'information Agoravox et auteur d'un blog http://jmpelletier52.over-blog.com/

Il a été directeur des ressources humaines de l'établissement public du parc et de la Grande Halle de la Villette, consultant en ingénierie culturelle pendant une dizaine d'année, il a produit et mis en scène de nombreuses expositions, notamment : « La République et le suffrage universel » à l'Assemblée Nationale ainsi que « La Fureur de Lire ».

Il a été Secrétaire général de l'Agence de l'informatique, conseiller technique auprès du Ministre du Temps Libre, assistant parlementaire d'Edgar Pisani et a collaboré au Festival Mondial du théâtre Universitaire de Nancy.

Inscription gratuite pour les adhérents ADELI, 15€ pour les non adhérents, réglable sur place, en espèces ou par chèque.

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 12:53

flyer_OlivierBernard_ok.jpgLe Département Arts-Musique (UFR LAM) inaugure cette année des entretiens publics de personnalités des arts et de la culture sur le site de l'Université Évry Val d’Essonne. Animé par les étudiants du master 2, le second « Grand Entretien » se déroulera le 20 mars 2012 à 18 heures dans l’amphi 150, bâtiment Maupertuis.

 

Après la venue de Michel Rostain, nous aurons le privilège, pour ce deuxième Grand Entretien, d’accueillir Olivier Bernard, directeur du Fonds d’action de la SACEM. Ce rendez-vous sera l'occasion de comprendre et d'appréhender les enjeux des sociétés de répartition des droits, ainsi que la politique de mécénat et les actions de cette association.

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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 13:08

imagesCAAWMN7Z.jpgLa société d’études britanniques QS (Quacquarelle Symonds Ltd) vient de publier les résultats d’une étude sur le classement mondial des villes étudiantes (50 au total). Le classement se fait, non pas seulement sur l’enseignement et la recherche, mais aussi sur l’importance de la population étudiante, la qualité de vie, le point de vue des employeurs sur les diplômés et sur le coût de la scolarité et de la vie.

 

Paris (421 points) crée la surprise en arrivant en tête de ce classement devant Londres (405 points), Boston (399 points), Melbourne (398 points) et Vienne (389 points). Bruxelles, quant à elle obtient 308 points et la 38ième place du classement.

Dans ce top 50 très prisé on trouve aussi deux autres villes françaises : Lyon (14ième, 367 points) et Toulouse (46ième, 286 points). C’est la ville de Glasgow en grande Bretagne qui se voit attribué la dernière place avec un score de 278 points.

Paris réussit à devancer Londres en raison de sa qualité de vie, son accessibilité, la réputation de ses universités auprès des employeurs internationaux.

Paris a plus d’établissements classés que n’importe quelle autre ville (16 établissements d’enseignement supérieur dans le top 500 : ENS Paris; l'Ecole Polytechnique ParisTech; Université Pierre et Marie Curie (UPMC), Sciences Po Paris; Université Paris-Sorbonne (ParisIV); Université Paris-Sud II; Université Paris I Panthéon-Sorbonne; Université Paris Diderot - Paris 7; École des Ponts ParisTech; Université Paris Descartes; Université Paris Dauphine; Université Panthéon-Assas (Paris 2); Université Paris Ouest Nanterre La Défense; ESCP Europe; ESSEC Business School, Paris; HEC Paris )

Et bien sûr Paris offre un cadre de vie exceptionnel, la plus belle ville au monde par son histoire, son architecture, ses monuments et son art de vivre. Ses prestigieux établissements d’enseignement ont accouché des philosophes, des théoriciens, des scientifiques et des mathématiciens les plus importants du siècle dernier.

 

Enfin alors que la plupart des classements internationaux classique des universités font la part belle et dominante aux établissements anglo-saxon, celui-ci (le QS Best Student-Cities 2012) retient sur les 15 premières villes sept villes d’Europe continentale : Paris, Vienne, Zurich, Berlin, Barcelone, Munich, Lyon.

Danny Byrne, l’un des responsables de QS a déclaré : «"La surprise est la performance de l'Europe continentale, mal classée d'habitude mais qui là bénéficie de ses systèmes plus égalitaires et moins sélectifs que les pays anglo-saxons", il poursuit «"Il s'agit pour nous de promouvoir un nouveau type de classement, centré sur les étudiants, car la qualité de vie, la réputation aux yeux des employeurs et l'accessibilité, cela leur parle", 

Le vice-chancelier des universités de Paris relève que les droits d’inscriptions jouent un rôle de plus en plus important dans ce type de classement, ainsi que le nombre d’Université. A titre de comparaison les droits de scolarité en France sont de 177 euros en licence et de 245 euros en master, en Grande Bretagne il faut compter de 3 000 à 4 000 euros en licence et 10 000 euros en master..

 

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 16:22

60 000 postes à recréer sur une mandature, soit 12 000 par an, c’est ainsi que la Droite s’est mise à pourchasser les socialistes avec toutes sortes de sottises sur le thème « on dilapide l’argent public », « la France va y perdre son triple A ». Amusant venant d’une équipe politique qui n’a pas cessé de creuser le déficit public et de monter la dette à un niveau jamais atteint.

Il n’y a en la matière aucun casse tête, comme certains voudraient le faire croire. D’abord il s’agit d’un geste politique, certains préfèrent faire un chèque de 100 millions d’euros à Mme Bettencourt au titre du bouclier fiscal, d’autres préfèrent mener une politique courageuse de soutien à l’éducation nationale.

Cela a un coût, si l’on prend sèchement la mesure il a été chiffré par l’Institut de l’entreprise (un Think-thank plutôt de droite) à 360 millions d’euros par an, soit un total sur la mandature de 1,8 milliards d’euros. Mais personne n’a parlé de création « sèche » de 60 000 postes. Michel Sapin a apporté des précisions sur le fait que ces créations se feraient par des baisses de postes par ailleurs. Il précise que l’objectif est de maintenir stable la masse salariale dans le budget de l’état. On aimerait que l’équipe de Sarkozy s’engage sur un tel objectif !

C’est difficile, c’est vrai il ne faut pas se raconter d’histoire. L’augmentation d’un point d’indice, le glissement vieillesse-technicité coûte un demi-milliard d’euros au budget de l’état !

Comment s’y prendre ? Il faut d’abord savoir raisonner en qualitatif et non seulement en quantitatif.

L’idée c’est de mettre fin à cette absurdité de supprimer en aveugle un poste sur deux. Ensuite il faut bien prendre en considération la difficulté actuelle à recruter des enseignants. En 2011, 20% des postes offerts aux Capes externes (4 880 places) n’ont pas été pourvus. C’est plus ou moins grave selon les disciplines, mais en lettres classiques ce sont 58% des postes qui ne sont pas pourvus.

Une partie du financement pourrait être assuré par la suppression totale ou partielle des redoublements. La France est le seul pays d’Europe a pratiqué aussi massivement le redoublement, qui coûte cher et qui n’est pas fiable pédagogiquement dans son ensemble.

Enfin on pourrait écouter les principaux intéressés : les syndicats d’enseignants. Ainsi Guy Barbier de l’UNSA qui propose : « Il faut refaire le coup de la mastérisation à l’envers. Remettre en place une année de formation durant laquelle les jeunes reçus au concours enseigneront quelques heures et se formeront. L’opération résout trois problèmes. D’abord, elle restaure une formation. Ce qui n’est pas rien. Ensuite, elle intègre en une fois 19 000 jeunes par la même opération qui avait permis en 2008 d'en supprimer virtuellement 16 000 au moment où la mastérisation s’était mise en place. Et, raffinement suprême, elle permet par des jeux d’indices des grilles fonctionnaires de revaloriser l’entrée dans le métier de 5 %. De quoi espérer attirer un peu vers ces concours". Pas bêtes non, on retourne à la Droite, en l’inversant, ses méthodes de calcul au profit d’une meilleure formation des enseignants, d’une revalorisation salariale et en recréant naturellement des postes.

Enfin la proposition de François Hollande ne vise pas à créer 60 000 postes d’enseignants, il faut être plus qualitatif sur le sujet et prendre en compte les « emplois avenirs » dévolus à l’école dans son programme, les postes nécessaires à l’enseignement supérieur, ainsi que la prise en compte impactant le nombre de postes de la réforme des rythmes scolaires prévues au programme.

En conclusion, sortir de son contexte politique les 60 000 postes n’a pas de sens et c’est faire un bien mauvais procès au candidat socialiste et à la gauche qui a un peu plus d’idées que cela en matière de réforme éducative.

 

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 22:36

Bruno Lutinier, Bruno Dioetsch et Marie-Françoise Siotto viennent de publier dans la collection culture-Chiffre une étude portant sur les formations artistiques, culturelles et en communication en 2009. 155000 étudiants se sont inscrits dans cette filière, un étudiant sur quinze. C’est sans aucun doute beaucoup plus que ce secteur d’activité ne peut en absorber, d’où les difficultés pour tous ces jeunes diplômés de trouver un emploi.

Trop d’étudiants

Sur ces 155000 étudiants, 113000 sont dans la filière artistique ou culturelle. Les cycles proposés sont variés. Se faisant concurrence, ils cherchent à établir leur spécificité, comme le master d’administration de la musique et du spectacle vivant de la faculté d’Evry qui se démarque des masters administrateur ou médiateur de la culture qui se sont multipliés.

Les pionniers

Il y a 30 ans, ces formations n’existaient pas. De rares pionniers comme Claude Mollard avec l’Institut Supérieur de Management Culturel (l’ISMC), Claude Vivier avec l’Enseignement Supérieur des Arts et de la Culture (EAC) et Jean Pelletier à l’INSEEC de Paris avaient posé les jalons d’une formation managériale spécifique au secteur culturel. Aujourd’hui, la situation a basculé à l’extrême, bénéficiant d’un effet de mode et de la forte polarité que la culture exprime en France.

Un profil spécifique

L’étude révèle ce que les professionnels de la culture ont remarqué depuis longtemps, une extrême féminisation de la filière (61,8% en 2009), une place importante faite aux établissements d’enseignement privé (un étudiant sur deux est dans une université) et une forte concentration sur la région parisienne . Enfin, l’étude dégage que les cursus licence et doctorat prédominent au regard des autres formations universitaires.

Une dévalorisation

Ces critères sont consubstantiels à ce qui précède. La féminisation d’une filière accompagne trop souvent sa dévalorisation. L’effet d’aubaine a joué pour les filières privées et l’extrême centralisation à Paris des institutions culturelles a joué pour y ajouter celle des cursus de formation. Enfin, la tentation du doctorat est grande pour creuser l’écart avec ses concurrents sur le marché du travail.

Que conseiller aux jeunes postulants ?

Sans les décourager, il faut les informer honnêtement de l’engorgement de la filière. Ils se doivent d’être attentifs aux filières qu’ils choisissent, la longueur du cursus universitaire n’est pas l’étalon maître pour leur ouvrir les portes de la professionnalisation. La qualité des stages suivis et leur choix jouent un rôle important dans ce qui est l’alpha et l’oméga de ces professions : le bon carnet d’adresse.

The Hague exercise for the concert | flickr_url http://flickr. com/pho

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L'auteur

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  • Né en 1952, ancien élève de l’Institut d’études politique de Paris et titulaire d’une Maîtrise de Lettres , j'ai   été Directeur des Relations Extérieures de l’ADAMI et professeur associé à l'université d'Evry . Je suis aujourd'hui à la retraite et je continue à enseigner. Ce blog est né d'une passion celle de l'écriture, liée à mon insatiable curiosité., d'où la diversité des rubriques.
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Bonne lecture.
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