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26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 11:38

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26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 11:18

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26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 11:17

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 11:51
Jean Pelletier shared Editions du Seuil's photo.

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 15:48

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 15:40

Ce sont les 23 et 30 mars prochain que les français devraient prendre le chemin des bureaux de vote et choisir leurs représentants au conseil municipal de leur ville, et par la même choisir le plus important d’entre eux : leur maire. Ces élections sont de proximité, particulièrement dans les villages et les petites communes. C’est donc l’occasion de faire une petite révision sur la manière dont cela se passe, selon que l’on habite un petit village, un bourg, une petite ou une grande ville.

Les élections municipales se déroulent tous les six ans et le mode de scrutin varie en fonction de la taille et de l’importance de la commune. Le code électoral prévoit que l’élection du maire et de ses adjoints doit avoir lieu au plus tôt le vendredi et au plus tard le dimanche qui suivent le scrutin. Ce sont les conseillers municipaux élus qui procèdent à ce vote. Ils sont donc élus pour une durée de six ans. Enfin, particularité de ces conseils municipaux, ce sont eux, ou du moins le Maire, qui nomment ce que l’on appelle les « grands électeurs » qui participent à la désignation des sénateurs.

Ce sont donc les dimanches 23 et 30 mars 2014 que les électeurs vont faire leur devoir électoral, ou pas. La loi prenant en compte les votes blancs a été votée, mais ne sera applicable que seulement après les élections municipales. Le mode de scrutin diffère selon la taille de la commune et un régime spécial est réservé pour Paris, Marseille et Lyon.

Si le scrutin municipal est ouvert à tous citoyens Français ayant 18 ans révolus, il l’est aussi aux membres de l’Union européenne (depuis 2001) résidant dans la commune, jouissant de ses droits civils et politiques et inscrits sur les listes électorales. Toutefois ces citoyens de l’Union européenne ne peuvent prétendre au poste de maire ou d’adjoint…

Le scrutin majoritaire plurinominal à deux tours avec panachage s’applique aux communes de moins de 1000 habitants, soit les trois quart des communes française (elles n’abritent cependant que 15% de la population française). Le scrutin proportionnel de liste avec une prime majoritaire s’applique lui pour les communes de plus de 1000 habitants. Le nombre de conseiller varie selon le nombre d’habitants, de 9 pour les plus petites à 19 pour les villes de plus de 300 000 habitants. En 2014 le nombre de conseiller pour les communes de moins de 100 habitants a été modifié et passe de 9 à 7.

Communes de moins de 1 000 habitants.

Désormais le dépôt de candidature est obligatoire, quel que soit la taille de la commune. Les candidatures peuvent se faire isolement ou sous forme de listes. Les électeurs peuvent les modifier et panacher plusieurs listes ou candidatures. Autre nouveauté, il n’est plus possible, comme dans le passé, d’élire une personne qui ne s’est pas déclarée candidate.

Du coup, le décomptage est individuel et non plus par listes. Pour être élu un candidat devra obtenir la majorité absolue des suffrages exprimés et au moins un quart des électeurs inscrits. Pour les sièges restant à pourvoir, un second tour est organisé. Seuls les candidats présents au 1er tour peuvent se présenter, sauf dans le cas où le nombre de candidat est inférieur au nombre de sièges à pourvoir. Au second tour la majorité relative suffit pour être élu. En cas d’égalité c’est le plus âgé qui est élu.

La parité ne s’impose pas aux communes de moins de 1000 habitants. Par contre et c’est une nouveauté en 2014, la parité sera imposée à toutes les communes de plus de 1000 habitants (principe jusqu’ici imposé aux seules communes de plus de 3 500 habitants). Cela ne représente pas moins de 6 550 communes. Ce nouveau dispositif paritaire devrait entrainer l’élection de 16 000 conseillères supplémentaires. Autre nouveauté, c’est avec un seul et même bulletin de vote que les électeurs désigneront leurs conseillers municipaux et communautaires. Ainsi ces établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) y trouveront leur légitimité démocratique (précédemment, ils étaient désignés par les membres du conseil municipal).

Communes de plus de 1 000 habitants.

Le mode de scrutin est le scrutin proportionnel de liste à deux tours, sans panachage possible, ni modification de l’ordre de présentation de la liste, avec une prime majoritaire donnée à la liste arrivée en tête. .

Le dépôt d’une déclaration de candidature est exigé, on ne peut être candidat dans plus d’une circonscription électorale, ni figurer sur plus d’une liste. Parité oblige les listes se présentent avec une alternance homme, femme, même obligation pour les listes d’adjoints.

Au premier tour ce sera la liste ayant obtenue la majorité absolue des suffrages exprimés (50% des voix plus une) qui recevra un nombre de sièges égal à la moitié des sièges à pourvoir. Les autres sièges seront pourvus à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne entre toutes les listes qui ont obtenus plus de 5 % des suffrages exprimés.

Si aucune liste n’obtient la majorité exprimée, un deuxième tour a lieu. Seules les listes ayant obtenu au moins 10 % des suffrages exprimés sont en mesure de se présenter à ce second tour. Entre les deux tours les listes peuvent éventuellement fusionner. En particulier les listes ayant obtenu au moins 5% des suffrages exprimées peuvent fusionner avec une liste ayant obtenue plus de 10 %. La répartition des sièges se fait comme au premier tour.

Paris, Marseille et Lyon,.

C’est la loi du 31 décembre 1982 relative à l’organisation administrative de Paris, Marseille et Lyon qui a mis en place un dispositif électoral particulier. L’élection se fait par secteurs comprenant chacun un arrondissement pour Paris et Lyon et de deux arrondissements à Marseille. Dans chaque secteur (arrondissement) les conseillers sont élus par un mode de scrutin de liste à deux tours avec une représentation proportionnelle, en suivant les mêmes règles que pour les communes de plus de 1 000 habitants. Les électeurs élisent en même temps leurs conseillers d’arrondissement et les conseillers de Paris ou Marseille ou Lyon. L’élection se déroule au suffrage universel direct et au scrutin de listes à deux tours. Chaque liste doit comprendre autant de candidats que de sièges à pourvoir. Ce sont les conseillers de Paris, de Marseille et de Lyon qui élisent ensuite le maire.

Pour mémoire, le coût des élections est assuré par l’Etat et les communes. CE sont 128,4 millions d’euros qui sont inscrits cette année au budget de la mission Administration territoriale de l’Etat pour l’élection des conseils municipaux. Il faudra cette année y ajouter encore 70,4 millions pour l’organisation des élections européennes du mois de mai.

Elections municipales, coût pour l’état 128,4 millions d’euros.

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 12:56

Le MEDEF vient de se signaler de manière particulièrement intempestive à l’égard des intermittents du spectacle, en proposant purement et simplement la suppression de leur régime spécial, comme prélude à l’ouverture des négociations entre partenaire sociaux sur le régime de l’UNEDIC (chômage). Laurence Parisot (ex Président du MEDEF) est sortie de sa réserve pour prendre la défense des intermittents.

La sortie est inhabituelle, de la part de celle qui fut la dame de Fer du patronat français, et pourtant, c’est bien elle qui a titré dans une tribune publiée, ce jour, dans les Echos : «Pourquoi il faut cesser de tirer sur les intermittents

C’est au nom d’une prétendue équité que le MEDEF a souhaité la suppression du régime spécial des intermittents du spectacle. Laurence Parisot, actuelle Présidente de l’Institut Français d’Opinion Publique (IFOP) a donc décidé de s’opposer frontalement à son successeur Pierre Gattaz. Tout en reconnaissant les abus, dont il faudrait se débarrasser, elle plaide pour la spécificité du système en trouvant les mots justes : « la question des intermittents du spectacle est loin d'être un simple problème comptable, elle renvoie au statut de la culture dans notre pays ».

Elle poursuit, en écrivant : « Parce qu'elle est mystérieuse, imprévisible, fragile et puissante à la fois, l'offre culturelle n'est pas une offre économique comme les autres. Elle a cela de spécifique qu'elle est notre bien commun. Elle parle de nous. Elle nous rend accessible aux étrangers. Dans bien des cas, elle est le premier ambassadeur de la France. ». La culture vient de se trouver une ambassadrice de choc et en chef !

Bref, il faut mettre un terme à cette stratégie du MEDEF qui consiste à chercher l’opposition systématique entre les artistes et les salariés et en affirmant, haut et fort, que la culture n’est pas un bien, ni un service comme un autre.

Parisot/Filippetti le combat est le même. La ministre de la culture a déclaré de son côté que les intermittents, «contribuent à un secteur représentant 3,2 % du produit intérieur brut… Economiquement, on a besoin des intermittents. Quand vous investissez 1 euro dans un festival ou un établissement culturel, vous avez 4 à 10 euros de retombées économiques pour les territoires ».

La bataille sur la nécessité de défendre les spécificités du secteur culturel et l’affirmation de son importance économique sont plus que jamais d’actualité. D’abord parce que les collectivités locales, confrontées à la crise, commencent à le faire payer à la culture sur le thème : la culture cela coûte trop cher. Ensuite c’est la cour des comptes qui tire à boulets rouges sur le cinéma français, comme quoi il coûterait trop cher. Bref la vieille ritournelle « Trop cher… trop cher… la culture », refait surface.

Heureusement un rapport conjoint des inspections générales des finances et des affaires culturelles vient à point nommée. Si la culture coûte cher, elle rapporte aussi beaucoup.

Dans ce contexte, si particulier, où Aurèlie Filippetti a réussi tant bien que mal à faire passer deux budgets successifs de la culture en baisse, ce que la droite n’avait pas osé, deux administrations, celle des finances et celle de la culture établissent que les dépenses globales de l’Etat pour la culture sont de 13,9 milliards d’euros et celles des collectivités territoriales de 7, 6 milliards, mais surtout que le PIB culturel serait de 57,8 milliards d’euros..

Petit portrait économique du secteur culturel (spectacle vivant, patrimoine, arts visuels, presse, livre, audiovisuel, publicité, architecture, cinéma, industrie de l’image et du son, accès aux savoirs et à la culture (bibliothèque, archives…).

  • 670 000 personnes y travaillent (2,5% de l’emploi total en France),
  • PIB culturel de 57,8 milliards d’euros (3,2% de la richesse nationale),
  • soit l’équivalent de l’agriculture et des industries alimentaires (60,4 milliards), le double des télécommunications (25,5 milliards), sept fois celui de l’industrie automobile (8,6 milliards),
  • le spectacle vivant représente 8,8 milliards d’euros,
  • le patrimoine 8,1 milliards,
  • Les arts visuels et la presse génèrent chacun 5,7 milliards,
  • le livre 5,5 milliards,
  • l’audiovisuel et la publicité, 5,1 milliards chacun,
  • les industries de l’image et du son 3,4 milliards,
  • l’accès au savoir et à la culture 2,3 milliards,
  • l’architecture 4,4 milliards,
  • le cinéma (3,6 milliards.

Le cabinet privé Ernst Young (en novembre 2013), avait évalué, de son côté, le chiffre d’affaires direct des industries culturelles et créatives (ICC) à 61,4 milliards d’euros.

De quoi pouvoir négocier pied à pied avec tous ceux qui pensent pouvoir contingenter la culture, au titre qu’elle coûterait trop chère et rapporterait peu.

Toutefois si PIB culturel a augmenté entre 1995 et 2005, depuis, la part de la culture dans la valeur ajoutée a diminuée de 0.3%. Ce léger fléchissement correspond à la période où le numérique est venu perturber les réseaux économiques de la culture (effondrement du marché du disque, par exemple). Mais l’étude souligne à juste titre que la responsabilité en incombe aussi aux Google, Apple et Amazon… qui ont capté une part de la valeur ajoutée à leur profit.

Il y a donc urgence à ce que les pouvoirs publics agissent en tant que régulateur sur les outils de la politique culturelle. A quand l’An II de l’exception culturelle promis par le président Hollande ?

Intermittents : le combat Parisot/Filippetti.Intermittents : le combat Parisot/Filippetti.

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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 21:52

Des éditeurs et libraires à poil pour défendre «Tous à poil !»

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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 22:34

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 14:45

Le monde de l’audiovisuel est en ébullition, chaines de Télé, producteurs, réalisateurs, c’est tout l’audiovisuel français qui est en émoi. Netflix paufine sa stratégie d’arrivée en Europe et vise particulièrement la France.

Mais de quoi s’agit-il ? Netflix, est ce que l’on appelle un VOD, un service de vidéo en ligne à la demande, rien de bien extraordinaire. Pourtant il rôde autour de Netflix un petit air de licence globale appliquée à l’audiovisuel. En effet pour 6 euros par mois, vous bénéficiez d’un accès illimité à des films et des séries. Aux USA c’est la ruée, à tel point que Netflix y absorbe désormais un tiers du flux internet, entre 20 h et 23 h. Un américain sur 10 est désormais abonné à Netflix.

Le point fort de Netflix est sans conteste la série… à tel point que les pratiques courantes des téléspectateurs américains ont été bouleversées : c’est le Binge-watch qui fait la concurrence au Binge-drinking. A savoir le visionnage des heures durant de séries (généralement américaines et britanniques) qui concurrence le fait de s’enregistrer en train de boire à toute vitesse de grande quantité d’alcool et de le balancer sur You Tube.

Le fait de voir en enfilades des séries saison après saisons est déjà une habitude française via des réseaux de streaming plus ou moins légaux. On comprend que Netflix puisse s’intéresser au marché français. De l’intérêt, ils sont en train de passer à l’offensive. Plusieurs responsables de la société américaines sont venus en France au mois de décembre et de janvier pour rencontrer l’ensemble des responsables de la filière, dont le conseiller de Français Hollande en charge de la culture : David Kessler. En parallèle, Netflix publie une offre d’emploi pour recruter un poste de relations publiques pour lequel la pratique de l’allemand et du français est recommandée.

Pour l’instant tout cela est plutôt soft, la délégation de Los Gatos (Californie) joue à patte de velours et les responsables français marquent leur intérêt tout en rappelant les règles françaises et la nécessité absolue de ne pas menacer Canal +, le modèle français qui contribue largement au financement du cinéma français. Pour l’instant nous en sommes là, les deux parties s‘observent et Aurélie Filippetti, la ministre de la culture rappelle opportunément : « Netflix devra se plier à la réglementation française ». A savoir diffuser un certain nombre d’œuvres françaises et respecter la chronologie des médias (respecter le temps réglementaire entre la diffusion d’un film et son arrivée sur Internet).

Ensuite, le marché français a ses spécificités qui ne joueront pas nécessairement en faveur de Netflix :

  • Seul 3 % des français déclarent avoir testé un abonnement à la vidéo payante,
  • Les français ne sont pas des habitués du sous-titre, ils préfèrent le doublage,
  • Le prix de la TNT et des box internet est moindre en France qu’aux Etats-Unis.

La semaine dernière, les mêmes entamaient la tournée des popotes à Bercy et rue de Valois.

Netflix n’hésite plus à investir directement et donc à produire sur la toile. « House of Cards » fait un tabac auprès des 33,4 millions de foyers américains qui ont souscrit l’abonnement. Vendredi, Netflix a mis en ligne les 13 derniers épisodes de la saison 2 mise en scène par David Fincher, pas moins, avec à l’affiche Kevin Spacey et Robin Wright.

Canal + a bien essayé d’anticiper la crise que provoquerait l’ouverture du service Netflix en France, la chaîne cryptée a lancé Canalplay, service de vidéo à la demande, coût 6,99 euros, à rapprocher des 6 euros de Netflix. Canalplay n’a rassemblé que 300 000 abonnements, décevant. Il faut dire que l’offre est loin d’égaler ce que Netflix est susceptible de proposer : une centaine de milliers de films et toutes les séries possibles et imaginables. L’offre de Canalplay (6,99 euros) s’ajoute à l’abonnement à Canal +, à savoir 39,90 euros par mois.

Risquons un pronostic, Netflix ouvrira ses portes en France, juste après l’été, en tout cas avant la fin de l’année 2014.

En s’élargissant déjà au Canada, Mexique, Brésil et une tête de pont en Europe avec la Grande Bretagne, les Pays-Bas et la Scandinavie, il atteint le chiffre de 40 millions d’abonnés. Dans la mire de la société de Los Gatos : la France et l’Allemagne. Qu’il est long le chemin parcouru depuis la Californie, où louer par voie postale de DVD commandés sur le Web fut sa première activité, Netflix a pris position dans les entreprises de tête du Net.

Installé où Luxembourg, il lui reste quelques mois pour affuter sa stratégie d’installation :

  • consensuelle par la négociation, en acceptant de rentrer dans le cercle d’attente de diffusion des nouveautés du cinéma français, à savoir deux ans et demi. (Délai qui pourrait être raccourci à dix-huit ou vingt mois).
  • ou sauvage, à la iTunes, en prenant d’assaut la France depuis son siège social au Luxembourg ?

En tout cas la société de Los Gatos, vient d’annoncer une levée de fonds de 292 millions d’euros, de quoi faciliter son implantation en Europe, en particulier en produisant directement des séries.

Le numérique n’en finit plus de renverser les modèles installés pour promouvoir d’autres modes de consommation culturelles. Déjà le développement de la télévision à la demande, ce que l’on appelle les replays, commence à détourner les téléspectateurs moyens de la programmation linéaire. Nombreux sont les publics qui désormais ne se servent que du streaming et de la télévision à la demande. L’arrivée de Netflix pourrait marquer un virage définitif dans l’audiovisuel français.

Netflix, c’est pour demain.

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  • : Le blog de Jean pelletier
  • Le blog de Jean pelletier
  • : Pour suivre l'actualité politique, la défense de la propriété intellectuelle et suivre quelques conseils en gastronomie et en histoire
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L'auteur

  • Jean Pelletier
  • Né en 1952, ancien élève de l’Institut d’études politique de Paris et titulaire d’une Maîtrise de Lettres , j'ai   été Directeur des Relations Extérieures de l’ADAMI et professeur associé à l'université d'Evry . Je suis aujourd'hui à la retraite et je continue à enseigner. Ce blog est né d'une passion celle de l'écriture, liée à mon insatiable curiosité., d'où la diversité des rubriques.
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Bonne lecture.
  • Né en 1952, ancien élève de l’Institut d’études politique de Paris et titulaire d’une Maîtrise de Lettres , j'ai été Directeur des Relations Extérieures de l’ADAMI et professeur associé à l'université d'Evry . Je suis aujourd'hui à la retraite et je continue à enseigner. Ce blog est né d'une passion celle de l'écriture, liée à mon insatiable curiosité., d'où la diversité des rubriques. Vous pouvez vous abonner à ce blog ou me suivre sur ma page facebook et mon compte twitter https://www.facebook.com/jean.pelletier 77https://twitter.com/jmpelletier Bonne lecture.

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