Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
8 juillet 2020 3 08 /07 /juillet /2020 10:37

À l’occasion de ses 40 ans ADELI avait organisé un concours de nouvelles de science-fiction sur le thème de l’IA dont le prix avait été remis au lauréat le 9 mars 2018 au Grand Hôtel de Cabourg (Calvados).

Depuis ADELI a maintenu ce prix chaque année.

L’édition 2019 du concours a fait l’objet d’une publication d’un recueil des onze meilleures nouvelles.

En cliquant sur le lien vous pourrez commander un exemplaire aux éditions Bod Librairie au tarif de 8,50 euros.

ADELI  a décidé de reconduire cette année, à compter du 15 avril 2020 jusqu’au 15 septembre 2020, un concours de nouvelles gratuit rédigé en langue française, sans obligation d’achat, intitulé Nouvelles d’anticipation sur le thème de l’intelligence artificielle « À quoi rêvent les robots ? ».

Les participants devront commencer leur texte par l’incipit :

« Je fais souvent ce rêve étrange et … »

Les textes devront être envoyés par les participants, par messagerie, à  concours@adeli.org en mentionnant expressément leur adresse postale et un numéro de téléphone, sous forme d’un fichier attaché en format word ou pdf. Ils acceptent que leur texte soit publié par ADELI en Licence Créative Commons.

Format des textes :

  • rédigés en langue française ;
  • sans illustration ;
  • titre obligatoire ;
  • longueur maximale de 10 000 caractères (espaces compris) ;
  • format A4, marge 2,5 cm, police Arial 12, interligne 1,5 ;
  • paginés.

Le Lauréat du Concours désigné par le Jury, le 15 octobre 2020, obtiendra les récompenses suivantes :

  • invitation à la manifestation de Paris (prise en charge par nos soins du coût du déplacement et du séjour en France métropolitaine), au cours de laquelle le Lauréat sera félicité en fin d’année en même temps que le lauréat du prix de thèse ADELI  organisé en partenariat avec l’Université PSL ;
  • attribution d’une adhésion Premium à ADELI pour l’année 2021 ;
  • participation au jury du prix de l’année suivante ;
  • publication de sa nouvelle, sous sa signature, sous licence Créative Commons, sur le site d’ADELI.

Cedric Teixeira Lauréat du concours 2019 de la meilleure nouvelle d’anticipation sur l’intelligence artificielle

Partager cet article

Repost0
15 janvier 2020 3 15 /01 /janvier /2020 19:54

ADELI vient d'éditer le lauréat du concours 2019, Cédric Teixeira, de la meilleure nouvelle d'anticipation et 10 autres nouvelles.

Le livre est disponible à la vente en cliquant sur le lien ci-après

Partager cet article

Repost0
15 janvier 2020 3 15 /01 /janvier /2020 19:49

Le prix de la nouvelle d’anticipation

ADELI  a reconduit cette année, à compter du 15 avril 2019 jusqu’au 15 septembre 2019, un concours de nouvelles gratuit rédigé en langue française,  intitulé Nouvelles d’anticipation sur le thème de l’intelligence artificielle « À l’aube du XXIIe siècle ».

Les participants devaient commencer leur texte par l’incipit :

« Le 6 janvier 2197, jour exceptionnel… »

Les gagnants

Le jury s’est réuni à Paris le mardi 5 novembre 2019, il a décidé d’attribuer le prix à :

Cedric Teixeira pour la nouvelle “L’amour tout un programme”, il recevra son prix lors de l’Assemblée générale 2019 qui se tiendra le 21 janvier 2020.

Vous accéderez à l'inforaltion complète et à la nouvelle en cliqunat ci-aprtès

Partager cet article

Repost0
21 mars 2019 4 21 /03 /mars /2019 18:37

À vos plumes

À l’occasion de ses 40 ans ADELI avait organisé un concours de nouvelles de science-fiction sur le thème de l’IA dont le prix avait été remis au lauréat le 9 mars 2018 au Grand Hôtel de Cabourg (Calvados).

ADELI  a décidé de reconduire cette année, à compter du 15 avril 2019 jusqu’au 15 septembre 2019, un concours de nouvelles gratuit rédigé en langue française, sans obligation d’achat, intitulé Nouvelles d’anticipation sur le thème de l’intelligence artificielle « À l’aube du XXIIème siècle ».

Les participants devront commencer leur texte par l’incipit :

« Le 6 janvier 2197, jour exceptionnel… »

Les textes devront être envoyés par les participants, par messagerie, à jmpelletier52@gmail.com en mentionnant leur adresse postale et un numéro de téléphone, sous forme d’un fichier attaché en format word ou pdf.

Format des textes :

  • rédigés en langue française ;
  • sans illustration ;
  • titre obligatoire ;
  • longueur maximale de 10 000 caractères (espaces comprises) ;
  • format A4, marge 2,5 cm, police Arial 12, interligne 1,5 ;
  • paginés.

Le Lauréat du Concours désigné par le Jury, le 15 octobre 2019, obtiendra les récompenses suivantes :

  • invitation à la manifestation de Paris (prise en charge par nos soins du coût du déplacement et du séjour en France métropolitaine), au cours de laquelle le Lauréat sera félicité en fin d’année en même temps que le lauréat du prix de thèse ADELI  organisé en partenariat avec l’Université PSL ;
  • attribution d’une adhésion Premium à ADELI pour l’année 2020 ;
  • publication de sa nouvelle, sous sa signature, sous licence Créative Commons, sur le site d’ADELI.

Partager cet article

Repost0
25 septembre 2016 7 25 /09 /septembre /2016 11:41

Qui l’eût cru… Jean-Louis Farvaque nous livre avec son dernier roman un véritable livre fantastique. Lui le professeur de physique, le savant, le rationaliste, l’athée ouvre une brèche sur l’au-delà et les interrogations qui s’y nichent.

La deuxième vie de Charlotte.

Il fait très fort et tranche avec ses précédents romans, comme s’il s’affranchissait enfin de sa pudeur, de sa retenue à écrire, comme s’il n’avait pas tout à fait sa place dans le monde de la littérature, comme s’il agissait en intrus. Certes, il s’amuse et il ne s’en cache pas, ne dit-il pas lui même qu’après toute une vie de physicien à l’université et avec à la clef nombre d’ouvrages scientifiques de références, la retraite lui ouvre le chemin d’une écriture où il peut s’affranchir des règles immuables du monde tel qu’il l’a enseigné.

Peut-être fallait-il un peu de temps et deux romans à son actif pour qu’il laisse exprimer une seconde nature que la vie avait jusque là enfouie au plus profond de lui même.

Le hobby n’est plus, c’est un auteur au sens fort du terme qu’il a su accoucher avec de la ténacité, beaucoup de travail, peut être un travail sur lui même.

Je ne vous donnerai que le pitch de l’histoire, comment un homme parvient-il à surmonter les lois de la vie pour renouer avec l’amour de sa vie et leur donner une seconde chance.

L’écriture est souple, les articulations du récit fonctionnent tellement bien qu’elles aimantent l’attention du lecteur. Difficile de laisser tomber le livre une fois prisonnier de l’intrigue.

Le style est factuel, on reconnaît la patte du professeur, peu d’envolée lyrique, le lyrisme est ailleurs, il n’est pas dans les mots, mais dans l’idée que l’on se fait de l’histoire…

Il y a du Marc Levy et du Guillaume Musso dans « La deuxième vie de Charlotte », tant la poésie de l’étrange se prolonge par une quête sincère de l’autre, une forme d’humilité à raconter pas à pas ce voyage incroyable au pays de la mort.

La chute du livre est une véritable beauté angulaire… à la croisée de H.G.Wells et de Stendhal.

« La deuxième vie de Charlotte » aux éditions Vents Salés (Web : édition-vents.com)

Partager cet article

Repost0
31 mai 2016 2 31 /05 /mai /2016 18:12
« Juste avant l’oubli » D’Alice Zeniter – Editions Albin Michel/Flammarion

Le titre du roman est prometteur… et les promesses sont tenues. Alize Zeniter, jeune auteur, possède un don. Son écriture, portée par un style léger et plein de fulgurances, porte un véritable récit. C’est à un double voyage qu’elle nous convie. Celui de l’aventure d’Émilie et de Franck destinée à se déliter, et le récit troublant, entretenu autour de Galwin Donnell… auteur mondialement connu du polar pour lequel ses affidés se réunissent une fois par an sur l’île où il a fini par disparaître dans de mystérieuses circonstances.

Bien sûr Donnell n’existe pas et encore moins son détective factice Adrian Dickson Carr… et pourtant, la magie d’Alice Zeniter, c’est de faire vivre aussi bien cette légende que le couple d’Émilie et de Franck.

C’est un livre pour les lecteurs amoureux des mots et des belles phrases… ceux-ci portent avec délice le déroulement fatal d’une double intrigue où l’on s’enfonce pas à pas, déterminés à combler les vides et les manques, juste avant l’oubli.

Partager cet article

Repost0
8 février 2016 1 08 /02 /février /2016 17:35
« Réforme de l’orthographe », un recentrage est nécessaire.

Beaucoup de bruits pour pas grand-chose, mais c’est surtout l’occasion pour les réactionnaires de tous poils de se manifester et faire entendre leur voix. Je suis donc allé voir à la source de l’information, à savoir le Journal Officiel, ce que tout le monde devrait faire avant de lancer des affirmations, souvent péremptoires, mais surtout fausse.

Tout d’abord il ne s’agit pas à proprement parler d’une réforme de l’orthographe, mais de la parution au J.O. d’un décret qui date de 1990… ce qui a laissé le temps, théoriquement à tous d’y réfléchir, d’abord les premiers intéressés, les éditeurs de livres et de manuels scolaires et les enseignants bien sûr. Quand on voit ce qu’ose déclarer Jean d’Ormesson, homme de talent, mais surtout de mauvaise foi. Il était en 1990 favorable aux recommandations du conseil supérieur de la langue française, validées par l’Académie française. Aujourd’hui, sans rire, il dit : « À l’époque, j’étais plutôt favorable à cette tendance réformatrice. Parce qu’il y a vingt-cinq ans, les gens n’étaient pas malheureux comme aujourd’hui, et le pays dans cet état. »

Rappelons que le français est une langue vivante qui n’a pas cessé au fil des siècles d’évoluer et de s’adapter intégrant même des pans entiers de langues étrangères…

Ces fameuses rectifications orthographiques concernent environ 2000 mots, qui soulignons-le accepteront les deux orthographes.

Quant à l’accent circonflexe, les réseaux sociaux ont répercutés de gros malins : comme Landezy Yves : « Je vais me faire un petit jeûne » « Je vais me faire un petit jeune » De l’importance de l’accent circonflexe. Ou bien cet autre @j_nij2015 qui proclame « Courage à tous les Jerome qui vont perdre leur accent circonflexe ».

Et nous avons eu des tonnes de bêtises de ce genre. Eh bien non les mots jeune/jeûne ne sont pas concernés et les noms propres non plus.

Et enfin pour ce qui est des enseignants il n’y a aucun caractère obligatoire à enseigner cette orthographe revisitée en 1990. Ainsi le hashtag #JeSuisCirconflexe n’a pas lieu d’être.

Sur cette histoire d’accent circonflexe on ne peut pas éviter de citer le texte lui même, parfaitement clair :

« 4. Accent circonflexe.

Si l’accent circonflexe placé sur les lettres a, o et e peut indiquer utilement des distinctions de timbre (mâtin et matin ; côte et cote ; vôtre et votre ; etc.), placé sur i et u il est d’une utilité nettement plus restreinte (voûte et doute par exemple ne se distinguent dans la prononciation que par la première consonne). Dans quelques terminaisons verbales (passé simple, etc.), il indique des distinctions morphologiques nécessaires. Sur les autres mots, il ne donne généralement aucune indication, excepté pour de rares distinctions de formes homographes.

En conséquence, on conserve l’accent circonflexe sur a, e, et o, mais sur i et sur u il n’est plus obligatoire, excepté dans les cas suivants :

a) Dans la conjugaison, où il marque une terminaison :

Au passé simple (première et deuxième personnes du pluriel) :

nous suivîmes, nous voulûmes, comme nous aimâmes vous suivîtes, vous voulûtes, comme vous aimâtes.

À l’imparfait du subjonctif (troisième personne du singulier) :

qu’il suivît, qu’il voulût, comme qu’il aimât.

Au plus-que-parfait du subjonctif, aussi nommé parfois improprement conditionnel passé deuxième forme (troisième personne du singulier) :

qu’il eût suivi, il eût voulu, comme qu’il eût aimé.

Exemples :

Nous voulûmes qu’il prît la parole ; Il eût préféré qu’on le prévînt.

b) Dans les mots où il apporte une distinction de sens utile : dû, jeûne, les adjectifs mûr et sûr, et le verbe croître (étant donné que sa conjugaison est en partie homographe de celle du verbe croire). L’exception ne concerne pas les dérivés et les composés de ces mots (exemple : sûr, mais sureté ; croître, mais accroitre).

Comme c’était déjà le cas pour dû, les adjectifs mûr et 6 décembre 1990 Documents administratifs 13.

sûr ne prennent un accent circonflexe qu’au masculin singulier.

Les personnes qui ont déjà la maîtrise de l’orthographe ancienne pourront, naturellement, ne pas suivre cette nouvelle norme. (Voir Analyse 3.3 ; Recommandation 4.)

Remarques :

— cette mesure entraîne la rectification de certaines anomalies étymologiques, en établissant des régularités.

On écrit désormais mu (comme déjà su, tu, vu, lu), plait (comme déjà tait, fait), piqure, surpiqure (comme déjà morsure) traine, traitre, et leurs dérivés (comme déjà gaine, haine, faine), et ambigument, assidument, congrument, continument, crument, dument,

goulument, incongrument, indument, nument (comme déjà absolument, éperdument, ingénument, résolument) ;

— sur ce point comme sur les autres, aucune modification n’est apportée aux noms propres. On garde le circonflexe aussi dans les adjectifs issus de ces noms (exemples : Nîmes, nîmois.) »

Ainsi si moi j’adopte nénufar et ognon, je garde l’accent circonflexe.

Partager cet article

Repost0
3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 15:37

Partager cet article

Repost0
5 avril 2015 7 05 /04 /avril /2015 18:42
Lettre de Victor Hugo à Lamartine : "Pourquoi j'ai écrit Les Misérables"

Mon illustre ami,

Si le radical, c'est l'idéal, oui, je suis radical. Oui, à tous les points de vue, je comprends, je veux et j'appelle le mieux ; le mieux, quoique dénoncé par le proverbe, n'est pas ennemi du bien, car cela reviendrait à dire : le mieux est l'ami du mal. Oui, une société qui admet la misère, oui, une religion qui admet l'enfer, oui, une humanité qui admet la guerre, me semblent une société, une religion et une humanité inférieures, et c'est vers la société d'en haut, vers l'humanité d'en haut et vers la religion d'en haut que je tends : société sans roi, humanité sans frontières, religion sans livre. Oui, je combats le prêtre qui vend le mensonge et le juge qui rend l'injustice. Universaliser la propriété (ce qui est le contraire de l'abolir) en supprimant le parasitisme, c'est-à-dire arriver à ce but : tout homme propriétaire et aucun homme maître, voilà pour moi la véritable économie sociale et politique. Le but est éloigné. Est-ce une raison pour n'y pas marcher ? J'abrège et je me résume. Oui, autant qu'il est permis à l'homme de vouloir, je veux détruire la fatalité humaine ; je condamne l'esclavage, je chasse la misère, j'enseigne l'ignorance, je traite la maladie, j'éclaire la nuit, je hais la haine. Voilà ce que je suis, et voilà pourquoi j'ai fait Les Misérables. Dans ma pensée, Les Misérables ne sont autre chose qu'un livre ayant la fraternité pour base et le progrès pour cime. Maintenant jugez-moi. […]

Partager cet article

Repost0
5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 13:01

Partager cet article

Repost0

Présentation

  • : Le blog de Jean pelletier
  • Le blog de Jean pelletier
  • : Pour suivre l'actualité politique, la défense de la propriété intellectuelle et suivre quelques conseils en gastronomie et en histoire
  • Contact

L'auteur

  • Jean Pelletier
  • Né en 1952, ancien élève de l’Institut d’études politique de Paris et titulaire d’une Maîtrise de Lettres , j'ai   été Directeur des Relations Extérieures de l’ADAMI et professeur associé à l'université d'Evry . Je suis aujourd'hui à la retraite et je continue à enseigner. Ce blog est né d'une passion celle de l'écriture, liée à mon insatiable curiosité., d'où la diversité des rubriques.
Vous pouvez vous abonner à ce blog ou me suivre sur ma page facebook  et mon compte twitter
https://www.facebook.com/jean.pelletier
77https://twitter.com/jmpelletier
Bonne lecture.
  • Né en 1952, ancien élève de l’Institut d’études politique de Paris et titulaire d’une Maîtrise de Lettres , j'ai été Directeur des Relations Extérieures de l’ADAMI et professeur associé à l'université d'Evry . Je suis aujourd'hui à la retraite et je continue à enseigner. Ce blog est né d'une passion celle de l'écriture, liée à mon insatiable curiosité., d'où la diversité des rubriques. Vous pouvez vous abonner à ce blog ou me suivre sur ma page facebook et mon compte twitter https://www.facebook.com/jean.pelletier 77https://twitter.com/jmpelletier Bonne lecture.

Version anglaise

<a href= »http://fp.reverso.net/jmpelletier52-over-blog/4946/en/index.html« ><img src= »http://flavius.reverso.net/img/languages/code.png«  style= »float:left; padding-right:8px; » title= « anglais«  height= »15px ; » alt= »Reverso Localize » /></a>

Recherche